Point de départ de la série Ce qu’il en reste, cette toile présente une horloge de parquet avec son pendule à l’intérieur du boîtier. La forme de l’objet comme tel est rendue en négatif par l’utilisation de papier vinyle autocollant qui réserve certaines parties de la surface alors que le reste est recouvert de peinture acrylique. Comme toutes les œuvres de cette série, L’horloge de mon grand-père adopte un format vériste afin que les repères fonctionnels s’actualisent et que le tout propose une présence similaire à celle de l’objet réel. Toutefois, dépourvue de véritable fonction, l’image n’est qu’évocation et réminiscence réconfortante.